COLLOQUE INTERNATIONAL Pratiques hétéroglossiques dans les espaces de contact hispano-lusophones

Pratiques hétéroglossiques dans les espaces de contact hispano-lusophones


Prácticas heteroglósicas en espacios de contacto hispano-lusófonos


Práticas heteroglossicas em espaços de contacto hispano-lusófonos

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15 et 16 octobre 2026 (PARIS-AUBERVILLIERS, FRANCE)


Université Sorbonne Nouvelle

Université Sorbonne Paris Nord

Instituto da Lingua Galega

 

[Version en français, en espagnol et en portugais]

Le terme « hétéroglossie » a été utilisé par Bakhtine (voir Emerson & Holquist, 1981) pour désigner la fonction sémiotique de la variation linguistique dans le roman (langues, dialectes ou registres). Il a récemment été recontextualisé par la sociolinguistique et l'anthropologie linguistique pour désigner l'utilisation de répertoires linguistiques dans lesquels apparaissent des éléments qui pourraient théoriquement être attribués à différentes variétés. Le rapprochement hétéroglossique suppose une approche épistémologique qui s'écarte de la conception des langues comme des objets bien délimités et autosuffisants, en mettant l'accent sur les pratiques hétérogènes des locuteurs (Bailey, 2012).

Les espaces hispano-lusophones, en Europe, en Amérique, en Afrique et dans les Caraïbes, constituent des terrains priviligiés pour observer la diversité et la mobilité des pratiques linguistiques hétéroglossiques issues d'histoires de colonisation, de résistance et de migration. Or ces pratiques ne peuvent être comprises indépendamment des rapports de pouvoir, des idéologies et des régulations qui les traversent. Dans cette perspective, la glottopolitique offre un cadre fécond pour penser les interventions explicites et implicites sur le langage et les tensions qu'elles génèrent entre homogénéisation et hétérogénéité (Alén Garabato & Boyer, 2020; Del Valle, 2024; Gugenberger et al., 2013; Guespin & Marcellesi, 1986). De même, les approches critiques du contact (Léglise, 2018, 2021; Makoni & Pennycook, 2007) invitent à dépasser la vision du contact comme simple rencontre de systèmes pour l'envisager comme un ensemble de pratiques socialement situées, façonnées par des dynamiques historiques et politiques. Dans ce cadre, les approches décoloniales apportent un questionnement fondamental sur les épistémologies linguistiques héritées du colonialisme et sur les modes de production de savoir qui continuent de marginaliser certaines pratiques et certains locuteurs (García & Flores, 2012; Makoni & Pennycook, 2012; Rosa & Flores, 2017). La linguistique postcoloniale et décoloniale (Levisen & Sippola, 2019) invite ainsi à repenser non seulement les objets d'étude mais aussi les catégories analytiques et les postures de recherche.

L'étude de ces dynamiques s'est nourrie d'approches variées: certaines ont privilégié l'analyse des effets de contact entre systèmes linguistiques distincts, en décrivant leurs conséquences morphosyntaxiques, phonétiques ou lexicales (Blestel & Palacios, 2021; Regueira & Fernández-Rei, 2020; Vázquez Rozas, 2020; Escobar, 2000; Haboud, 1998; Muntendam, 2008; Muysken, 2013; Palacios, 2005, 2011) ; d'autres ont mis en lumière la dimension sociale, pragmatique et idéologique des pratiques, en soulignant le rôle des mobilités, des apprentissages, des attitudes et des régulations glottopolitiques dans la reconfiguration des répertoires (Klee, 2009; Klee & Caravedo, 2012; Recalde, 2012; Léglise, 2013; Makoni & Pennycook, 2007; Sánchez Moreano, 2018; Sánchez Moreano & Blestel, 2021b, 2021a). Ces perspectives, loin de s'opposer, se complètent : elles permettent de penser conjointement les phénomènes observables et les conditions sociales, institutionnelles et politiques de leur production.

En réunissant ces différents courants, le colloque souhaite explorer la manière dont les pratiques hétéroglossiques participent à la fabrique sociale et politique du sens, qu'il s'agisse de contextes éducatifs, médiatiques, institutionnels ou quotidiens. Il s'agira d'examiner non seulement les processus de contact, mais aussi les idéologies et les dispositifs glottopolitiques qui les informent, afin d'interroger la place du langage dans la construction des hiérarchies, des appartenances et des imaginaires contemporains. L'objectif est d'ouvrir un espace de réflexion collectif où les résultats empiriques, les cadres théoriques et les enjeux politiques du langage puissent dialoguer sans cloisonnement disciplinaire, pour penser ensemble la diversité, ses régulations et ses formes d'expression.

Les propositions pourront s’inscrire dans l’un ou plusieurs des axes suivants (liste non exhaustive) :

• Variation et dynamiques structurelles : description des changements phonétiques, morphosyntaxiques ou lexicaux liés au contact ; phénomènes de convergence, d’innovation ou de diffusion dans les variétés hispano-lusophones.
• Attitudes linguistiques et discours épilinguistiques : représentations sociales, stéréotypes, idéologies et indexations des formes ; hiérarchies symboliques et légitimation des usages.
• Glottopolitique et politiques linguistiques : interventions institutionnelles et ordinaires sur les pratiques ; normes, planification, régulations éducatives et politiques publiques.
• Acquisition, apprentissage et pragmatique interlinguistique : processus d’acquisition dans les contextes bilingues et plurilingues ; transferts, stratégies communicatives et pratiques pédagogiques.
• Éducation et médiation interculturelle : école, université, médias et espaces communautaires comme lieux de circulation et de négociation du plurilinguisme.
• Théories et méthodologies du contact : approches de terrain, constitution et analyse de corpus, perspectives interactionnelles, ethnographiques et variationnelles.

Les contributions combinant plusieurs de ces dimensions seront particulièrement bienvenues.

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Prácticas heteroglósicas en espacios de contacto hispano-lusófonos

El término "heteroglosia" fue utilizado por Bajtín (véase Emerson & Holquist, 1981) para designar la función semiótica de la variación lingüística en la novela (lenguas, dialectos o registros). Recientemente, la sociolingüística y la antropología lingüística lo han recontextualizado para designar el uso de repertorios lingüísticos en los que aparecen elementos que, en teoría, podrían atribuirse a diferentes variedades. La aproximación heteroglósica supone un enfoque epistemológico que se aleja de la concepción de las lenguas como objetos bien delimitados y autosuficientes, haciendo hincapié en las prácticas heterogéneas de los hablantes (Bailey, 2012).

Los espacios hispano-lusófonos, en Europa, América, África y el Caribe, constituyen terrenos privilegiados para observar la diversidad y la movilidad de las prácticas lingüísticas heteroglósicas derivadas de historias de colonización, resistencia y migración. Sin embargo, estas prácticas no pueden entenderse independientemente de las relaciones de poder, las ideologías y las regulaciones que las atraviesan. Desde esta perspectiva, la glotopolítica ofrece un marco fértil para reflexionar sobre las intervenciones explícitas e implícitas en el lenguaje y las tensiones que generan entre la homogeneización y la heterogeneidad (Alén Garabato & Boyer, 2020; Del Valle, 2024; Gugenberger et al., 2013; Guespin & Marcellesi, 1986). Del mismo modo, los enfoques críticos del contacto (Léglise, 2018, 2021; Makoni & Pennycook, 2007) invitan a superar la visión del contacto como un simple encuentro de sistemas para considerarlo como un conjunto de prácticas socialmente situadas, moldeadas por dinámicas históricas y políticas. En este marco, los enfoques decoloniales aportan un cuestionamiento fundamental sobre las epistemologías lingüísticas heredadas del colonialismo y sobre los modos de producción de saber que continúan marginalizando determinadas prácticas y ciertos hablantes (García & Flores, 2012; Makoni & Pennycook, 2012; Rosa & Flores, 2017). La lingüística postcolonial y decolonial (Levisen & Sippola, 2019) invita así a repensar no solo los objetos de estudio sino también las categorías analíticas y las posturas de investigación.

El estudio de estas dinámicas se ha basado en diversos enfoques: algunos han privilegiado el análisis de los efectos del contacto entre sistemas lingüísticos distintos, describiendo sus consecuencias morfosintácticas, fonéticas o léxicas (Blestel & Palacios, 2021; Regueira & Fernández-Rei, 2020; Vázquez Rozas, 2020; Escobar, 2000; Haboud, 1998; Muntendam, 2008; Muysken, 2013; Palacios, 2005, 2011); otros han puesto de relieve la dimensión social, pragmática e ideológica de las prácticas, subrayando el papel de las movilidades, los aprendizajes, las actitudes y las regulaciones glotopolíticas en la reconfiguración de los repertorios (Klee, 2009; Klee & Caravedo, 2012; Recalde, 2012; Léglise, 2013; Makoni & Pennycook, 2007; Sánchez Moreano, 2018; Sánchez Moreano & Blestel, 2021b, 2021a). Estas perspectivas, lejos de oponerse, se complementan: permiten pensar conjuntamente los fenómenos observables y las condiciones sociales, institucionales y políticas de su producción.

Al reunir estas diferentes corrientes, el coloquio desea explorar la forma en que las prácticas heteroglósicas participan en la construcción social y política del sentido, en contextos educativos, mediáticos, institucionales o cotidianos. Se tratará de examinar no solo los procesos de contacto, sino también las ideologías y los dispositivos glotopolíticos que los conforman, con el fin de cuestionar el lugar que ocupa el lenguaje en la construcción de jerarquías, pertenencias e imaginarios contemporáneos. El objetivo es abrir un espacio de reflexión colectiva en el que los resultados empíricos, los marcos teóricos y los retos políticos del lenguaje puedan dialogar sin barreras disciplinarias, para pensar juntos sobre la diversidad, sus regulaciones y sus formas de expresión.

Las propuestas podrán inscribirse en uno o varios de los siguientes ejes (lista no exhaustiva):

• Variación y dinámicas estructurales: descripción de los cambios fonéticos, morfosintácticos o léxicos relacionados con el contacto; fenómenos de convergencia, innovación o difusión en las variedades hispano-lusófonas.
• Actitudes lingüísticas y discursos epilinguísticos: representaciones sociales, estereotipos, ideologías e indexaciones de las formas; jerarquías simbólicas y legitimación de los usos.
• Glotopolítica y políticas lingüísticas: intervenciones institucionales y ordinarias sobre las prácticas; normas, planificación, regulaciones educativas y políticas públicas.
• Adquisición, aprendizaje y pragmática interlingüística: procesos de adquisición en contextos bilingües y plurilingües; transferencias, estrategias comunicativas y prácticas pedagógicas.
• Educación y mediación intercultural: la escuela, la universidad, los medios de comunicación y los espacios comunitarios como lugares de circulación y negociación del plurilingüismo.
• Teorías y metodologías del contacto: enfoques de campo, constitución y análisis de corpus, perspectivas interactivas, etnográficas y variacionales.

Las contribuciones que combinen varias de estas dimensiones serán especialmente bienvenidas.

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Práticas heteroglossicas em espaços de contacto hispano-lusófonos

O termo "heteroglossia" foi utilizado por Bakhtin (ver Emerson & Holquist, 1981) para designar a função semiótica da variação linguística no romance (línguas, dialetos ou registos). Recentemente, a sociolinguística e a antropologia linguística recontextualizaram-no para designar o uso de repertórios linguísticos nos quais aparecem elementos que, em teoria, poderiam ser atribuídos a diferentes variedades. A abordagem heteroglossica pressupõe uma abordagem epistemológica que se afasta da concepção das línguas como objetos bem delimitados e autossuficientes, enfatizando as práticas heterogéneas dos falantes (Bailey, 2012).

Os espaços hispano-lusófonos, na Europa, América, África e Caribe, constituem terrenos privilegiados para observar a diversidade e a mobilidade das práticas linguísticas heteroglossicas derivadas de histórias de colonização, resistência e migração. No entanto, essas práticas não podem ser compreendidas independentemente das relações de poder, ideologias e regulamentações que as atravessam. Nesta perspetiva, a glotopolítica oferece um quadro fértil para refletir sobre as intervenções explícitas e implícitas na linguagem e as tensões que geram entre a homogeneização e a heterogeneidade (Alén Garabato & Boyer, 2020; Del Valle, 2024; Gugenberger et al., 2013; Guespin & Marcellesi, 1986). Da mesma forma, as abordagens críticas do contacto (Léglise, 2018, 2021; Makoni & Pennycook, 2007) convidam a superar a visão do contacto como um simples encontro de sistemas para considerá-lo como um conjunto de práticas socialmente situadas, moldadas por dinâmicas históricas e políticas. Neste enquadramento, as abordagens decoloniais trazem um questionamento fundamental sobre as epistemologias linguísticas herdadas do colonialismo e sobre os modos de produção de saber que continuam a marginalizar determinadas práticas e certos falantes (García & Flores, 2012; Makoni & Pennycook, 2012; Rosa & Flores, 2017). A linguística postcolonial e decolonial (Levisen & Sippola, 2019) convida assim a repensar não apenas os objetos de estudo mas também as categorias analíticas e as posturas de investigação.

O estudo dessas dinâmicas baseou-se em diversas abordagens: algumas privilegiaram a análise dos efeitos do contacto entre sistemas linguísticos distintos, descrevendo as suas consequências morfossintáticas, fonéticas ou lexicais (Blestel & Palacios, 2021; Regueira & Fernández-Rei, 2020; Vázquez Rozas, 2020; Escobar, 2000; Haboud, 1998; Muntendam, 2008; Muysken, 2013; Palacios, 2005, 2011); outros destacaram a dimensão social, pragmática e ideológica das práticas, sublinhando o papel das mobilidades, aprendizagens, atitudes e regulamentações glotopolíticas na reconfiguração dos repertórios (Klee, 2009; Klee & Caravedo, 2012; Recalde, 2012; Léglise, 2013; Makoni & Pennycook, 2007; Sánchez Moreano, 2018; Sánchez Moreano & Blestel, 2021b, 2021a). Estas perspetivas, longe de se oporem, complementam-se: permitem pensar em conjunto os fenómenos observáveis e as condições sociais, institucionais e políticas da sua produção.

Ao reunir essas diferentes correntes, o colóquio pretende explorar a forma como as práticas heteroglossicas participam na construção social e política do sentido, em contextos educativos, mediáticos, institucionais ou cotidianos. Trata-se de examinar não apenas os processos de contacto, mas também as ideologias e os dispositivos glotopolíticos que os conformam, com o objetivo de questionar o lugar que a linguagem ocupa na construção de hierarquias, pertenças e imaginários contemporâneos. O objetivo é abrir um espaço de reflexão coletiva no qual os resultados empíricos, os quadros teóricos e os desafios políticos da linguagem possam dialogar sem barreiras disciplinares, para refletir juntos sobre a diversidade, as suas regulamentações e as suas formas de expressão.

As propostas podem inscrever-se em um ou vários dos seguintes eixos (lista não exaustiva):

• Variação e dinâmicas estruturais: descrição das mudanças fonéticas, morfossintáticas ou lexicais relacionadas com o contacto; fenómenos de convergência, inovação ou difusão nas variedades hispano-lusófonas.
• Atitudes linguísticas e discursos epilinguísticos: representações sociais, estereótipos, ideologias e indexações das formas; hierarquias simbólicas e legitimação dos usos.
• Glotopolítica e políticas linguísticas: intervenções institucionais e ordinárias sobre as práticas; normas, planeamento, regulamentações educativas e políticas públicas.
• Aquisição, aprendizagem e pragmática interlinguística: processos de aquisição em contextos bilingues e plurilíngues; transferências, estratégias comunicativas e práticas pedagógicas.
• Educação e mediação intercultural: a escola, a universidade, os meios de comunicação e os espaços comunitários como locais de circulação e negociação do plurilinguismo.
• Teorias e metodologias do contacto: abordagens de campo, constituição e análise de corpus, perspetivas interativas, etnográficas e variacionais.

Contribuições que combinem várias destas dimensões serão especialmente bem-vindas.

 

Références bibliographiques / Referencias bibliográficas / Referências bibliográficas

Alén Garabato, C. & H. Boyer (2020). Le marché et la langue occitane au vingt-et-unième siècle: microactes glottopolitiques contre substitution: Une enquête ethnosociolinguistique en Région Occitanie. Llemotges: Lambert-Lucas
Bailey, B. (2012). « Heteroglossia ». En M. Martin-Jones, A. Blackledge & A. Creese (Eds.) : The Routledge Handbook of Multilingualism. London : Routledge, p. 511-519.
Blestel, É., & Palacios, A. (Eds.). (2021). Variedades del español en contacto con otras lenguas. Frankfurt am Main: Peter Lang.
Del Valle, J. (Éd.). (2024). Lo politico del lenguaje. Travesía por el español y sus malestares. Santiago de Chile: Verba-Volant.
Emerson, C. & M. Holquist (Eds.) (1981).The dialogic imagination. Four essays by M. M. Bakhtin. University of Texas Press: Library of Congress Cataloging Publication Data.
Escobar, A. M. (2000). Contacto social y lingüístico: El español en contacto con el quechua en el Perú. Lima: Pontificia Universidad Católica del Perú/Fondo Editorial.
García, O., & Flores, N. (2012). «Multilingual pedagogies». In M. Martin-Jones, A. Blackledge & A. Creese (Eds.), The Routledge Handbook of Multilingualism. London: Routledge, p. 232-246.
Guespin, L., & Marcellesi, J.-B. (1986). « Pour la glottopolitique ». Langages, 21(83), p. 5-34.
Gugenberger, E.; Monteagudo, H. & Rei-Doval, G. (2013) (Éds.). Contacto de Linguas, Hibrididade, Cambio: Contextos, Procesos e Consecuencias. Spanish and Portuguese Faculty Books.
Haboud, M. (1998). Quichua y Castellano en los Andes Ecuatorianos. Los efectos de un contacto prolongado. Quito: Ediciones Abya-Yala.
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Recalde, M. (2012). «Aproximación a las representaciones sociales del español de Galicia». En B. López Meirama, T. Jiménez Juliá, V. Vázquez Rozas & A. Veiga (Eds.), Cum Corde et in Nova Gramatica. Estudios Ofrecidos a Guillermo Rojo. Santiago de Compostela: Universidade de Santiago, p. 667-680.
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Rosa, J., & Flores, N. (2017). «Unsettling race and language: Toward a raciolinguistic perspective». Language in Society, 46(5), p. 621-647.
Sánchez Moreano, S. (2018). «Negociación de posicionamientos sociales (stances) a través del debilitamiento del fonema /s/ en el español hablado por los quichuas ecuatorianos en Cali (Colombia)». Pragmática Sociocultural / Sociocultural Pragmatics, 6(1), p. 33-70.
Sánchez Moreano, S., & Blestel, É. (2021a). «Español en contacto con lenguas amerindias : Nuevas perspectivas». In S. Sánchez Moreano & É. Blestel (Eds.), Prácticas lingüísticas heterogéneas: Nuevas perspectivas para el estudio del español en contacto con lenguas amerindias. Berlin: Language Science Press, p. 1-23 [https://langsci-press.org/catalog/book/236].
Sánchez Moreano, S., & Blestel, É. (Éds.). (2021b). Prácticas lingüísticas heterogéneas: Nuevas perspectivas para el estudio del español en contacto con lenguas amerindias. Berlin: Language Science Press [https://zenodo.org/record/5636761]
Vázquez Rozas, V. (2020). «Había + participio no español falado en Galicia: un estudo de corpus». En F. Dubert García, V. Míguez & X. Sousa (Eds.), Variedades lingüísticas en contacto na Península Ibérica. Santiago de Compostela: Consello da Cultura Galega, p. 195-219.

 

 


Proposition de communication / Propuesta de comunicaciones / Propostas de comunicações

Le résumé sera déposé sous la forme d’un fichier sur le site avant le 28 février 2026.

[Connectez-vous et cliquez sur "Nouveau Dépôt", suivez les étapes]

Merci d’utiliser pour ce faire le modèle de fichier disponible et de respecter les consignes concernant le contenu du résumé. Chaque résumé de 350 à 800 mots précisera la problématique abordée et son intérêt pour la recherche, la question de recherche précise qui sera traitée et la méthode qui sera mobilisée pour y répondre (démarche de recherche, données utilisées, type d’analyse, mise en œuvre, bibliographie.

Il vous est demandé d’indiquer 3 à 5 mots-clés permettant de situer votre proposition (type d’approche, de méthode, terrain, concepts ou objets).

Langues des résumés : français – espagnol – portugais

[Langues des communications : langues des territoires hispanophones et lusophones. Un support de présentation type diaporama dans une langue différente de celle de la communication sera demandé.]

Les communications retenues par le comité scientifique seront annoncées aux participant/es le 30 avril 2026.

Informations pratiques :
Le Colloque aura lieu sur deux sites : à l'université Sorbonne Nouvelle, Maison de la recherche de l’USN (Salle du Conseil), 4 rue des Irlandais, 75005 Paris et au Campus Condorcet, Place du Front populaire, 93322 Aubervilliers. Plus d'informations à venir.

Le Colloque aura lieu du jeudi 15 octobre au vendredi 16 octobre 2026.

Frais d'inscription
Tarif plein : 40 euros
Tarif réduit (doctorant/es) : 25 euros
Plus d’informations à venir sur le site de gestion des frais d’inscription.

Comité d’organisation :

-Élodie Blestel (Université Sorbonne Nouvelle) - elodie.blestel@sorbonne-nouvelle.fr
-Montserrat Recalde Fernández (Instituto da Lingua Galega – Universidade Santiago de Compostela) - montserrat.recalde@usc.gal
-César Ruiz Pisano (Université Sorbonne Paris Nord) – cesar.ruizpisano@univ-paris13.fr

Pour toute question, merci de contacter C. Ruiz Pisano.

 

Comité scientifique :


- Anik Nandi (Woxsen University, Telangana, India)
- Araceli Enríquez Ovando (Universidad Michoacana de San Nicolás, México)
- Eva Gugenberger (Universidad de Flensburg, Alemania)
- Francisco Dubert García (Instituto da Lingua Galega / Universidade de Santiago de Compostela)
- Carola Mick (Université Paris Cité)
- Azucena Palacios (Universidad Autónoma de Madrid)
- Santiago Sánchez Moreano (IRD & Universidad Nacional de Colombia)
- Fabio Scetti (Université du Québec à Trois-Rivières)
- Sandra Schlumpf (Department of Languages and Literatures Seminar for Ibero-Romance Studies, Basel, Switzerland)
- José Vicente Lozano (Université de Rouen Normandie)
- Victoria Vázquez Rozas (Universidade de Santiago de Compostela)
- Melanie Uth (Universität Potsdam)
- Lenka Zajícová (Univerzita Plackého v Olomouci, CZ)


Conférenciers confirmés :

-Eeva Sippola (University of Helsinki)
-José del Valle (CUNY, EUA)
-Carmen Alén Garabato (Université de Montpellier III, Provence)

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